✿ Intrigue #1 : Extraordinaires animaux ✿ [Jolly Licorne, Plume Blanche, Naëlia ]

J'en avais mare !!! Je voulais partir de la ville au moins pour quelques heures, rien de plus. Voire un peu de nature et non plus cette continuelle spirale de pollution et d’urbanisation. Mais Selenna m'en empêchait. Elle savait que je voulais changer d'air mais elle disait que si j'étais venu ici c'était pour voir un peu de civilisation et étudier. Je ne maîtrisais toujours pas parfaitement le français et cela nuisait à mes résultats. Pour compenser je devais travailler deux fois plus.
Je regardais l’extérieur par la fenêtre de ma petite chambre. La liberté de la forêt de mes ancêtres me manquait. Je voulais absolument aller dans la forêt qui se trouvait en bordure de la ville.
Le soleil était bas à l'horizon et Selenna était parti travailler, fermant la porte à clef comme à son habitude. Je le ferrais ce soir. Je finissais rapidement mon exercice de math avant de sortir de l'armoire mon matériel. Je pris une chemise légère, un pantacourt en coton et un petit sac en bandoulière, pas besoin de chaussures, j'irais pieds nus. Il y avait aussi mon arc que j'avais emporté avec moi lors de mon départ. Je le sortais souvent pour l'entretenir, ainsi que mes flèches. Je le pris avec le carquois. Je le rangeais dedans et je passait le carquois dans mon dos.
Je descendais ensuite dans la cuisine et je prenais autant de fruit que je pouvais. Je les fourrais dans mon sac et je sortais discrètement par la fenêtre. Mon instinct de chasseuse reprit le dessus. Je regardais de tout les côtés, les rues n'étaient pas très bondé mais valait mieux qu'on ne me voit pas. Je prenais donc les petites ruelles avant de trouver un endroit pour monter sur un toit. je continuais ma route en sautant de toit en toit.
J'arrivais bientôt au bord de la ville et je sentit aussitôt une odeur salée. Je continuais dans cette direction, intriguer.
Lorsque j'arrivais à bon port, je fus subjuguée par la beauté du lieux. Il y avait une immense étendue de sable avec une falaise d'un côté et l'orée de la forêt de l'autre. En face de moi l'eau déferlait sur la rive. Ce devait être la mer d'on j'avais tant entendu parler mais que je n'avais jamais vu.

"La mer, c'est l'émotion incarnée. La mer aime, déteste et pleur. Elle se dérobe à toute tentative d'évocation ou de contrôle. On peut bien dire ce qu'on veut, la mer échappe toujours à l'homme."

Voilà ce qu'avait dit un ancien Vagabond qui l'avait vu pendant l'un de ses voyages. Il avait bien raison. C'était magnifique.
Je vis soudains une chose pour le moins incongrue. Un cheval d'une blancheur argenter galopait vers la forêt. Mais sur sa tête, en regardant bien avec mes yeux d'aigle, comme disait ma mère, je vis ce qui ressemblait à une corne. Mais le cheval disparut bien vite derrière la lisière des arbres, je ne pus voire avec précision si c'était bien ce à quoi je pensais.
Je ne réfléchis pas plus. Je voulais entrer dans la forêt et observer ce cheval de plus près. Le soleil se couchait à l'horizon mais je n'avais pas peur. j'avais grandis dans la forêt. Je savais comment survivre dedans en pleine nuit et mes yeux étaient plus perçants que ceux des humains civilisés.
je courrais avec la légèreté et la grâce que j'avais acquise au fil des années passé à chasser le gibier et à faire des courses avec les garçons de mon village. C'était d'ailleurs moi la plus rapide.
J'arrivais bien vite devant la lisière et lorsque je pris une première respiration en sentant l'odeur des arbres, je me sentis revivre. Enfin je revoyais la nature ! J'étais dans mon élément.
Je m'avançais en regardant la piste qu'avait laissé le cheval, j'allais le retrouver et voir si j'avais bien vu. Une nouvelle traque commençait pour moi et cela m’excitais au plus au point.
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Spoiler:

Une petite chanson qui raconte l'histoire de deux amants, Acallamh et Nuada, que la mer a séparé. Il y a encore beaucoup de couplets mais c'est le seul que je connaisse.

Jolly Licorn avait été prevenue il ne fallait pas qu'elle soit vue des humains et des hommes, des ètres vivants avec un esprit d'homme car la fée lavait dit ils feraient du mal ils detruiseraient la foret. Jolly Ilcorn alla derrière les arbres près de la plage, c'étéait dangeureux. Elle trouva une flaque d'eau et bu dedans elle avait soif. Elle avait gouter l'eau de la mer mais c'était pas bon. Elle griniotta de l'herbe. Cet endroit était vraiment bizarre tout le monde agissait bizarrement. Les hommes, non elle en avait jamais vu, juste une fois. Mais si elle pouvait les éviter elle le fera car ils sont danreugeux et il faut faire attention, lui a dit la fée.

Tout dun coup elle sentit une présence derriere elle. Elle n'avait rien entendu mais elle sentait commme si quelqu'un était la. SOn 6ième sens était fort et elle se fiait toujours à sa. Elle tourna la tete et regarda autour d'elle. Elle ne vit rien que des arbres des ronsses et des champignons. Non il n'y avait rien mais elle sentait quelque chose alors elle alla faire le un petit tour autour des arbres pour regardait entre les arbres voir si il y avait quelque chose. Mais elle ne voit rien. Alors elle hausse les épaules et decide de continuer son chemin dans la foret profonte ert de senfoncer toujours plus pour s'éloigner de la vie humaine et pour se proteger dans la foret. Sa belle queue argentée se balansait derriere elle, par le vent, la legere brise qui soufflait et qui faisait voler sa criniere aussi. La terre molle et mouillee faisait que ses sabots faisaient pas de bruit quand elle marchait dans le sentier forestier.






(dsl jai pas trop inspiration comparer à toi^^)

La nuit était tombée, je devait me fier à mon excellente ouï et à ma vue nocturne supérieur à la moyenne. Je flairais la trace du cheval. Il y avait des traces au sol et dans les branches. Prés d'une vielle souche je découvrais des morceaux de crins coincé dans l'écorce d'un arbre, sur le sol meule il y avait des empreintes de sabots.
La piste se faisait plus fraîche. Je continuais d'avancer en me faisant discrète. Je m'étais imprégné des odeur et des bruits de la forêt pour les imiter et ainsi passer inaperçu. Je me sentais vraiment dans mon univers, la traque, la partie la plus longue et la plus excitante d'une chasse.
J'arrivais devant un petit point d'eau d'après l'odeur. Je m'avançais doucement. Une brise m'apporta l'odeur du cheval, il était devant moi. Je grimpais discrètement à un arbre et je continuais par la voie des airs. J'arrivais juste derrière ma proie, je la contournais pour éviter qu'elle ne me repère.
En le regardant bien avec ma vision d'aigle, je vis qu'il avait effectivement une corne sur le front. J'avais entendu parler de ces animaux dans des légendes mais je ne pensais pas qu'ils existaient en vrai. La bête buvait dans une petite mare. Son pelage blanc argenté se reflétait sur l'eau à la lueur de la pleine lune. Cette licorne était vraiment magnifique.
Soudain, elle releva la tête et regarda de tout les côté. Je me fondais dans l'ombre comme je l'avais souvent fait face à un prédateur ou quand une proie me repérait. Elle se dirigea de la d'où elle venait et regarda autour des arbres comme si elle cherchait quelque chose. Elle avait dût sentir ma présence, normal, d'après les légendes c'était un animal magique.
On disait aussi que sa corne soignait certaines blessures et que son crains était plus solide que le plus solide des fils, il pourrait me faire une bonne corde pour mon arc, enfin s'il est assez souple. Ou alors je pourrais me servir de ses crains et sa corne pour me soigner lorsque je me blessais. Cet animal était vraiment une mine de ressource de première nécessiter.
Pas besoin de réfléchir plus, je pris trois flèche dans mon carquois et j'en encochais une. Mais la licorne henni et repartit au galop, s'enfonçant plus dans la forêt. Je souris, j'allais m'amuser.
Je remettais mes flèches dans mon carquois et je descendais de l'arbre. La licorne avait prit de l'avance mais j'étais une traqueuse hors pair. Je me mettais en route. Le chemin qu'avait choisi ma proie était relativement simple à suivre et la terre molle me permettais de la suivre facilement en gardant l'empreinte de ses sabots. J'étais plus silencieuse qu'une carpe. ^^

La traque dura une bonne heure. Mais j'y mis fin en la retrouvant au coeur de la forêt. Je m'approchais d'elle silencieusement en prenant de nouveau trois flèches. Elle était immobile, parfait. J'encochais une flèche, visais... Mais au moment où j'allais tirer un bruit la fit se retourner et elle me vit. Je regardais dans la direction du bruit, juste un loup. Je reportais mon regard sur la licorne mais... Elle n'était plus là.

J'allais me remettre à la poursuite de la Licorne lorsque quelque chose sortit des fourrés et s’emmêla dans mes jambe. Je m'en dégageais et je vis un animal blanc que je n'avais jamais vu auparavant. Il ressemblait à un renard, mais il était plus petit, plus pelucheux et plein de poile et d'un blanc éclatant presque argenté. Je l'observais quelque seconde avant de tendre ma main vers lui, mais il l'évita. Je soupirais, je cherchais la Licorne des yeux, elle devait être loin. je dis à l'animal, sur un ton de reproche :

- C'est malin. je vais devoir retrouver sa trace.

Mais en fait, cela m’excitait au plus haut point. La chasse venait à peine de commencer que j'avais déjà retrouvé mon instinct de chasseur. Je me relevais d'un bon souple et gracieux et allais à l'endroit où j'avais vu la Licorne pour la dernière fois. Les traces menait vers le Sud, encore plus profondément dans la forêt. je regardais le drôle d'animal, il m'intriguais.
Un choix difficile s'offrait à moi, poursuivre la Licorne ou rester là à étudier cet animal.
Mais on m'avait apprit à ne jamais remettre à plus tard une chasse. Je me tournais de nouveau vers l'endroit où avait disparut ma proie, je l'aurais la prochaine fois.
Je m’élançais en silence, étant aussi discrète qu'une brise. Je ne remarquais pas qu'on me suivait. Trop concentrer sur la Licorne.