Début de l'exploration - Une grande mare d'eau salée (libre : je vous attend ) XD

Les grands arbres avec leurs feuilles vertes, offrent toujours un refuge pour les animaux. Mais, une fois qu'on y est bien en sécurité, on ne rêve que de voir de nouveaux endroit, plus surprenant encore ! Pour un simple chat aillant voyagé depuis le Groenland, la forêt était un refuge idéal après tant de mésaventures. Ce simple chat y restera un bon bout de temps, bien tranquillement, sans sortir la truffe des feuillages. Mais les alentours restaient inconnus et le temps de l'exploration était venu. Notre animal était resté à l'abri de tout danger trop longtemps. Ce beau matin d'été la petite chatte grise descendit de son arbre, bien décidée. Elle sauta au sol souplement et s'étira de tout son long en ouvrant grand les mâchoires, découvrant ses dents pointues. Ses griffes grattèrent la terre rapidement pour sortire de terre une proie fraîchement chassée la veille. Une fois le régale terminé, elle se mit enfin en route pour découvrir ce qui borde la forêt.
La minette partie vers le soleil levant. Pas après pas, la lumière s'intensifiait avec le lever de soleil et le ciel se dégageait des feuilles verdoyantes, jusqu'à ce qu'il n'y est plus un arbre, laissant place à des bruyères à perte de vue. Trottant prudemment dans ce nouveau décor, elle sentit des centaines de nouveaux parfums, et le plus fort d’eux était le sel. D'où venait cette senteur si forte ? Se fiant à son odorat elle marcha dos au soleil, le museau au vent. Elle marchait presque les yeux fermer, mais elle sentit alors le vide l'attirer. Elle crut tomber, mais elle recula suffisamment tôt pour éviter la chute. Jetant un coup d’œil, elle fut très heureuse de n'être pas tombé sur les roches ardentes à 300 mètres plus bas. Mais sa surprise fut plus grande quand elle plongea son regard dans l'horizon noyé. Sous ses yeux le ciel embrassait les eaux. Des eaux qui n'en finissaient jamais, et toujours cette odeur salée dans l'air. L'animal ne tenait plus en place ce mystère était trop grand, elle voulait en savoir plus. Tournant la tête au sud, il y avait que des falaises. Au Nord un drôle de champs doré passait sous le liquide bleuâtre. Cela semblait plus intéressant au Nord, elle décida donc d'y mener ses pas en suivant la côte. Elle passa à travers la forêt pour rejoindre cet étrange endroit où la terre rejoignait la mer. Elle arriva sur les dunes, déjà il y avait cette terre si fine et salée. Enfin elle passa les dunes et arriva sur le sable fin. La chatte n'y avait jamais poser une patte auparavant, ce fut curieux de sentir ces grains passer entre ses griffes.
Lorsqu'elle aperçut l'énorme étendu d'eau, elle y courut sans retenue. L'odeur salée était plus forte que jamais. La minette compris que cette drôle d'odeur venait de l'étendu d'eau infinie. Elle voulut y goûter et y risqua sa langue râpeuse. Un frisson parcouru son échine lorsque le goût arriva sur le bout de sa langue.

-Eurk !

Quel goût salé, incroyablement salée. D'où venait donc toute cette eau ? Le mystère était à peine découvert pour la jeune chatte. Elle remarqua des traces qui venaient tout juste d'être effacé par le roulis des vagues. Quelqu'un n'était pas loin, qui donc ?

correction by Marc

Je m’ennuyais chez moi. C’était mon jour de congé et je n’avais toujours pas d’idée pour mon prochain livre. Je décidais finalement de sortire de bon matin. Le soleil se levait à l’horizon, c’était le bon moment pour aller faire un tour à la plage. Je prit mon sac qui contenait mon ordinateur portable et mon matériel. J’enfilais mon manteau et je sortais en fermant la porte à clef derrière moi. Les rues étaient encore sombre et la plupart des lampadaires étaient éteints. Je marchais d’un pas vif jusqu’au centre ville où les commerces ouvraient déjà et j’achetais rapidement une baguette de pain chez le boulanger avant de reprendre ma route.
J’arrivais finalement à la plage, il faisait vraiment beau aujourd’hui. Le roulis des vagues et le bruit des oiseaux se réveillant dans la forêt sonnaient comme une douce mélodie à mes oreilles. Je marchais au bord de l’eau après avoir enlever mes baskets et mes chaussettes. Le léger souffle de vent provenant de la mer m’apportait de délicieuses odeur de sel. Je soupirais, c’était une vraie bouffé d’énergie et d’air pur que je prenais en cette belle matinée. Je me dirigeais vers les rochers au bord de la plage et je m’asseyais dessus, plongeant mon regard dans cette étendue infinie d’eau. Quoi que disent les autres, la mer est et restera sauvage. Elle chantait parfois de douces mélodies, mais elle pouvait aussi se mettre en colère et noyer les téméraires qui tentaient de la défier. Elle était à la fois douce et imprévisible, merveilleuse au repos et d’une beauté sauvage lors d’une tempêtes. J’avais lut des chose sur cela, c’était merveilleux... et très périlleux.
J’étais tellement plongé dans mes pensées que je ne vis pas le temps passer. Je fus sortit de ma rêverie par le miaulement d’un chat. Je regardais autour de moi et je vis un petit chat un peu plus loin qui se penchait sur l’eau salée. Il goûta l’eau du bout de la langue avant de s’en éloigner d’un bon en crachant. Je souris, ce devait être la première fois qu’il voyait la mer. Je me levais et me dirigeais vers lui sans remarquer que j’avais oublié de ramasser mes baskets. Je fus bientôt à sa hauteur et je tentais de le caresser.

Un chat soucient sur la plage suivant des traces dans le sables. Alors que l'auteur de ses géant pas et juste derrière, et que de sa main terrifiante Eona essaye d'attraper la Lulu. Pourtant sans sens rende compte le chat suivait les traces tout en évitant cette main qui se refermait dans le vide.

Je me demandais de quel animal venait ses pas. De grandes traces ovale en deux parti avec comme un motif dessus. Innocente je continua ma route tranquille. Soudain, on me frôla. Je ne me retourna pas croyant que c'était mon imagination. Mais cela se répéta. Je me retourna et vit des pieds et des immenses jambes d'Homme. Comment avais-je pu ne pas faire gaffe à ça !? Mince, j'était vraiment dans une situation délicate. Ne pas faire de mouvement brusque... Je m'engagea dans une marche arrière calmement maîtrisent ma respiration. Le faite de ne pas être dans la forêt me déstabilisait. Je n'était plus habituée, il était grand temps que je sorte de la forêt. Et cette humaine n'avait rien à voir avec l'autre que j'avais chasser quelque jours plutôt. Qu'est ce qu'elle me voulait cela ?

Le chat esquivait à chaque fois mes caresse. Au bout de quelques essais, je me rendis compte qu'il suivait mes propres traces de pas dans le sable. Je faillit rire de la situation. Je remarquais alors que j'avais oublié de remettre mes chaussures. Je haussais les épaules, je savais où elles étaient, personne n'allait me les voler.
Je fini par réussir à la toucher, je le caressais deux fois avant qu'il ne se retourne. Il me jeta un regard méfiant avant de se mettre à reculer tout doucement. Il semblait connaître les hommes, j'espérais juste qu'il ne m'attaquerais pas. Je m'accroupissais tranquillement en le regardant. J'avais appris d'une ancienne mauvaise expérience qu'il valait mieux ne pas énerver les animaux sauvage. Quoi que... Celui là semblait en partit domestique. Je souris avant de tendre la main, paume vers le ciel. J'attendis patiemment pour voir sa réaction.

Messages : 42 Date d'inscription : 25/03/2011

Onde Pure avait décidé, pour changer un peu des habitudes, d'aller se baigner dans la grand eétendue d'eau salée que les humains appelaient "mer". Elle aimait à s'y baigner même si elle préférait la douceur des eaux des rivières. Mais elle aimait la mer et c'est là, d'ailleurs, qu'elle avait renconté ce jeune humain qu'elle avait pris en affection. Onde Pure nageait depuis un bon moment quand son attention fut attirée par quelque chose.

-Hum.... qu'est -ce donc que ceci? , pensa-t'elle. Et la curiosité l'emportant sur la prudence elle nagea vers le rivage. Tout en prenant garde à ne pas se faire repérer, Onde Pure scruta la rive et vit une jeune fille qui asseayait d'attraper un.... chat !

-Voilà bien une scène étrange dans un tel endroit. Essayons d'en savoir plus....

Attention au nombre de ligne Wink

Je fixa avec des yeux noirs l'humaine. Elle me regarda et me sourit, qu'elle nunuche. Cette femme croyait pouvoir m'amadouer comme ça ? En guise de réponse, je lui griffa la main, non mais ! Je parti au petit galop à l’opposé de la forêt. Soudain une présence se fit ressentir, léger comme la rivière. Quelqu’un était là autour de Lulu. Mais qui ? Ce sentiment l’enveloppait et elle se sentait en sécurité. Par curiosité Lulu se retourna voir ou en était l'humaine, elle était toujours là bas accroupi la tête base. Soudain le sentiment de culpabilité l'envahi. Après tous cette femme ne lui avait rien fait, elle n'aurait peut être pas du la griffer si méchamment... Elle décida de retourner sur ses pas. Elle se mit devant la jeune femme et s'assit devant elle. Lulu l'a fixa d'un regarde désoler et miola gentiment avec de grand yeux. Elle lui tourna autour en ronronnant pour se faire pardonner. Elle sentait toujour cette présence mystérieuse autour d'elle qui était ce ? Sont imagination ? Le soleil était a son zénite quand Lulu entendit une drôle de voix faible. Elle regarda l'humaine, mais ce n'était pas elle qui parlait. Devenait elle folle ? Raisonnant dans sa tête la voix devenait clair. Mais que lui voulait elle ?

Le chat réagit d'abord violemment en me griffant à la main. Il ne semblait pas être bien sauvage pourtant. Il partit au galop vers les falaises qui se trouvaient à l'opposée de la forêt. Il n'avait pas fait deux métre qu'il s'arrêtait et faisait demi-tour. Il revint vers moi, j'étais resté accroupie tout ce temps a nettoyer avec de la salive la petite plaie qu'il mavait faite. Il me quémenda des caresse en me tournant autour et un miaulant d'une voix triste. Je souris, il ne savait pas ce qu'il voulait. Je tendais la main vers lui, hésitais une seconde, avant de le caresser dans le sens du poil. Il ronronna plus fort et je souris de plus belle. Je dis :
- Comment t'appelles-tu ?
Il ne pouvait me répondre, je le savais, mais j'étais certaone qu'il avait un nom.
Je sentis alors une présence prés de moi et me relevais, regardant autour de moi. Il n'y avait personne, mais j'étais certaine d'être observée. Je regardais le chat une derniére fois avant de retourner au rochet où j'avais laissé mes chaussures. Je les efenlais avant de chercher le chat des yeux, mais il avait disparit...

(désolé pour la longueur et l'orthographe, mais j'écris sur tablette et ce n'est pas facile)

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